Lyrics
Vulgaire, vulgaire, violent
Forcé-forcément
Ravi, ravi d'être là
La rue c’est paro et j’suis résigné
Les poumons, le cerveau carbonisé
C’est la merde, en effet
Ca pillave beaucoup pour oublier les faits
Bien lancer les dés, bicrave beaucoup, ça aussi je l’ai fait
J’peux pas nier les faits, de l’or au cou, des Louboutin aux pieds
La rue c’est paro, j’pillave en effet
J’bédave aussi pour oublier les faits
C’que je dis c’que vis je et c’que je fais
Maman le voit pas mais maman le sait
Là j’suis déconnecté
Ils parlent de moi, ça m’fait aucun effet
C’que je compte le matin, c’est pas sûr qu’ils le voient d’l’année
Frérot, j’sais que j’vais brûler mais j’le fais pour la mif
Parce que j’veux que l’nom d’famille survive à nos prénoms
On connait l’prix du sacrifice, laisse-les lécher des amulettes
Sucent la bite à Anubis, font la bise au démon
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano
La rue c’est paro, la rue c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano
Ouais au début on était rien, mais bon c’est vrai qu’on était plein
Un ballon d’foot et des copains, putain sa mère c’qu’on était bien
Puis on a changé de terrain, les copains deviennent des témoins
Ces fils de schmets m’ont dit «t'es bien», la suite j’vais pas t’faire un dessin
Ils ont vu le T repartir en i
Ils veulent faire la paix mais j’ai plus envie
C’est l’hôpital qui s’moque de la charité
Quand les putes osent exiger la galanterie
J’tire les coups-francs et les penalties
J’envoie leurs grand-mères en thérapie
Pioche dans la caisse comme David Douillet
Tu vas t’exiler comme Ben Ali
Frérot, j’sais que j’vais brûler mais j’le fais pour la mif
Parce que j’veux que l’nom d’famille survive à nos prénoms
On connait l’prix du sacrifice, laisse-les lécher des amulettes
Suce la bite à Anubis, font la bise au démon
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano
La rue c’est paro, la rue c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano
Mais dis-moi toi, tu sais quoi d’ma vie mon lapin?
Midi-minuit dans le hall c’est toute ma jeunesse à faire le tapin
On a cramé dans l’four pour être du gratin
On sortait d’boite à 2−20, y’avait qu’deux chemins: le mur ou l’ravin
Et l’Ciel est taquin et il m’a pris mes copains
Personne me les rendra, ni l’imam, ni le curé, ni l’rabbin
Buona Serra les gars j’en perds mon latin
J’aurais dû dire adieu mais j’ai juste dit ¿ a quien lo mata?
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, c’est paro, c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano
La rue c’est paro, la rue c’est paro
La rue c’est paro, la rue c’est paro, sors nous les violons et meurs sur le
piano