Elle avait un blouson trois fois trop grand pour elle Un pantalon qui n' pouvait pas vivre sans bretelles Elle avait dans les yeux ce p’tit air qui agace Tous les gens bien pensants, bien assis, bien en place Elle disait tout ce qu’elle pense Sans penser tout ce qu’elle disait Elle jouait avec sa chance D' temps en temps, elle trichait Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Le monde n’existait pas Elle me regardait comme ç a Et moi je restais comme ç a Elle me regardait comme ç a Ã*a voulait dire que je suis là Moi j' comprenais p’têt' pas Elle a mis dans ma vie tellement de choses qui manquaient Des fenêtres à mes nuits, des bateaux sur le quai Elle avait qu’un dÃ(c)faut, c'Ã(c)tait d' voir tous les miens Chaque fois que j’en faisais trop, d’un petit sourire en coin Elle cherchait dans mes yeux Des rÃ(c)ponses, des questions Ã*a me rendait malheureux Je disais oui, je disais non Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Le monde n’existait pas Elle me regardait comme ç a Et moi je restais comme ç a Elle me regardait comme ç a Ã*a voulait dire que je suis là J' comprenais toujours pas Elle est partie un jour, elle a quitté le bal Dans ce monde en mal d’amour, elle respirait trop mal Elle avait pas eu le temps d’attendre trop longtemps Et puis les princes charmants parfois prennent tout leur temps Pas besoin d'être en cage Pour se croire en prison P' têt' que j'Ã(c)tais trop sage P' têt' que j'Ã(c)tais trop con Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Le monde n’existait pas Elle me regardait comme ç a, Elle me regardait comme ç a Ã*a voulait dire que je suis là Elle avait un blouson trois fois trop grand pour elle Un pantalon qui n' pouvait pas vivre sans bretelles Elle avait dans les yeux ce p’tit air qui agace Tous les gens bien pensants, bien assis, bien en place Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a Elle me regardait comme ç a