Lyrics
Le soleil pénètre dans mon salon
La lumière parait plein de reflets
Et sur… t’appelle
Je serais rentré ce soir
Pour un autre repas de famille, un autre simple jour sans histoires
Pétrifié, paralysé, abandonné, blessé
Indescriptible sentiment de rien, le vide est laissé
L’enfer pour mes anges, dans un stupide accident
Je perds mon fils, ma fille et la mère de mes enfants
Tu me manques, ce n’est pas vrai
Un cauchemar je vais m'éveiller
Elle sera la allongée à mes cotés
Le cri des gosses qui jouent, les éclats de voix le matin
Je n’ai jamais songé que le silence est assassin mais il me tue
Doucement, je crois que j’en perds la raison
Comment puis-je encore vivre dans la maison?
Les murs sont tristes, ils ont effacés les sourires
Les souvenirs, a chaque objets je les respirent
C’est mon empire qui expire, toute ma vie qui vassie
Un pas vers la fenêtre le soleil brille, les voitures passent
Les gens sont gais, certains font du sport
Comment peut-il y avoir encore de la vie dehors?
Ce matin j’ai quitté la maison, un peu fâché
Petite dispute de rien du tout
Maintenant je suis sans voix
Tu ne m’entends pas
Douleur noire
Dire que nous nous sommes quittés pour toujours sans nous dire au revoir
On dit qu’il est possible de reconstruire ce qui n’est plus
Les forces m’abandonnent, je n’en ai plus
Bon Dieu veille sur eux, qu’ils ne pleurent pas trop
Car il est bien possible que l’on se voie très bientôt
C’est sans issues…
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
J'étais sur de tout avoir réussi
D'être sorti vainqueur de tout les combats entrepris
Pourtant a présent je ne sais plus que pensé
Et la question reste en suspens Ou me suis je trompé?
Je redoublé d’efforts, pour décrocher tout se ce qu’il y avait de décrochable
J’avais des valises chargées
Et a la fac, je ne m’amuser pas
J'étais premier a tout les cours car second sa ne paye pas
Au prix de combien d’amitiés bafoués le brûleur de cœurs que je suis
A accéder aux hauteurs
Ca n'était pas suffisant, ça ne l’est jamais
Alors quelques têtes de plus a piétiné pour m'élever
J’ai acquis un par un tout les signes extérieur de richesse
Ma soif d’argent jamais n’avait de cesse
J’ai construis une famille et une maison
Ma femme était un ange qui m’a donné deux beaux garçons
Qu’en faite je n’ai même pas vu grandir
Trop occupé, fou que j'étais a réussir
Ma vie ressemble à un dessin d’architecture
Pas un traits qui dépasse, pas de fautes, pas de ratures
Mon épouse a pris un amant
Ca ne ma même pas blessé
Je me demande si un jour je l’ai aimé
Si j’ai eu tout ce qu’il était possible d’avoir
Dans ma vie, pourquoi je me sens si mal aujourd’hui
Je réalise, qu’en fait je n’ai rien
Que tout ceci n’est qu’illusion dans un rêve de satin
Je craque, au sommet de ma tour
Attiré par la rue
Je ne lutte même plus, c’est sans issues…
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No ways
No, No No ways
No ways
No, No No ways
No ways
No, No No ways
No ways
No, No No ways…