Et la rue m’habitue à n'être plus personne
Presque plus personne
Et la ville me force à suivre son rhythme fébrile
Son rhythme fébrile
Mais quand on se retrouve
Quand il rentre le soir
Il suffit d’un regard
Et je suis moi
J’ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
J’entends, je sens et je vois
Je suis moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
Et la rue me ramène à sa vie monotone
Sa vie monotone
Dans la ville je me perds, je m’oublie, je m’abondonne
Oui je m’abondonne
Mais quand on se retrouve
Quand le ciel devient noir
Il suffit d’un regard
Et je suis moi
J’ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
J’entends, je sens et je vois
Je suis moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
Je suis moi
J’ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
J’entends, je sens et je vois
Je suis moi
Comme pour la première fois
Je suis moi
Je suis moi…